Il y a le mauvais échec dû à une négligence, ou imprudence.
Il y a l’échec dû à des facteurs externes (météo – retard – COVID...). Nous ne Pouvons pas tout prévoir, mais nous allons faire en sorte de limiter les conséquences en anticipant, prévoyant une autre solution au cas où …
Et il y a l’échec d’une 1ère expérience, où nous sortons de ce que nous maitrisons, de notre zone de confort, où finalement notre échec va être un tremplin pour accroître notre potentiel.
L’échec devient alors une opportunité d’apprentissage :
essayer … se tromper … apprendre … réussir
Cela peut bousculer certaines croyances du monde scolaire où dès les premières années, il faut réussir. Mais quel n’est pas l’entrepreneur, le politicien, l’artiste, le sportif … qui avant de réussir a eu ses propres échecs ?
Alors … comment apprendre de nos erreurs ?
Accepter notre imperfection : nous faisons tous des erreurs, et… avons le droit de faire des erreurs.. Reconnaître notre responsabilité… à sa juste mesure.
Rire de nos erreurs. (« Bienheureux ceux qui savent rirent d’eux même, ils n’ont pas fini de s’amuser » ..)
Dire ce que nous avons raté, la raison, comment faire différemment, ouvrir le champ des possibles : « et si c’était à refaire ? »
Demander aux autres.
Concrétiser nos paroles dans la volonté d’apprendre.
L’échec pris comme opportunité d’apprentissage nous permet d’atteindre notre réussite.
Oser se tromper, c’est affronter sa « peur de l’échec ».
C’est aussi développer sa persévérance en refusant d’abandonner, développer son courage.
C’est encore être plus résilient en construisant soi-même ses conditions pour réussir.
C’est aussi gagner en authenticité, en humilité, en humanité… devenir soi !
C’est enfin donner sa juste valeur à sa réussite : être fier de soi, gagner confiance en soi.
Et vous … quand avez-vous essayé quelque chose de nouveau ou vraiment difficile pour la dernière fois où vous avez pu ressentir ce profond sentiment de satisfaction et fierté ...
« Yes ! j’ai réussi ! » ?
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